FAA compliance

Honneurs historiques de la Federal Aviation Administration (USA) à la France

A l’heure même où la jeune entreprise New-Yorkaise ELISA, fondée par un expatrié français et partenaire historique du Groupe ODiam, est attendue dans le Queens, cette dernière a donc eut l’honneur d’une entrevue avec la Federal Aviation Administration (FAA) pour ses travaux remarquables sur les interfaces homme-machines.

C’est entouré de Steven Debban et de Khalil Khodsi, que Marc Sedarous a reçu ELISA dans les étages du bâtiment officiel. Cinquante minutes pour surtout parler aéronautique, de procédures en vol et démonstrateur du système d’affichage – les sujets fétiches des ingénieurs du président Barak Obama.

D’emblée, le fondateur d’ELISA a d’ailleurs été «surpris» par la sagacité de ses hôtes qui «comprennent en un instant les concepts qui apparaissent les plus complexes à la majorité des gens».

Et même en cette fin de journée, les discussions rebondissement et ne manquent pas d’énergie à quelques minutes du week-end. Ils évoquent l’efficacité de l’intégration du système d’éclairage dans la fine peinture du tarmac, la peinture aéronautique dynamique des carlingues, le dialogue cognitif imaginable entre un environnement converti et les usagers d’une piste d’atterrissage. Mark se préoccupe également du coût de possession, des consommations énergétiques et de la mesure des éventuelles perturbations électromagnétiques incompatibles avec le vol.

«Imaginez comme les applications sont vastes. Mon travail à la FAA m’en empêche mais si je le pouvais j’investirai dans ELISA.»
MARK SEDAROUS, FAA

«Le support de la FFA à l’égard d’ELISA»
Pas question d’évoquer un dispositif équivalent, il n’y en a aucun autre. «La technologie que vous nous avez présenté est prometteuse», confirme Khalil. Je vous mets en relation avec Robert Bassey, notre responsable P.O.C. qui pourra vous orienter sur la qualification des équipements d’éclairages au sol.

«C’est un peu historique»
Depuis la fondation de la FAA le 23 Aout 1958, c’est la première fois qu’un ingénieur d’origine française a l’honneur d’être reçu en session extraordinaire autour de dispositifs de navigation interne à la circulation aérienne locale.

Rappelons que le bâtiment fédéral de la FAA est une forteresse surveillée par la garde nationale, comme tous les bâtiments gouvernementaux à Washington DC, et où il convient de montrer patte-blanche depuis le 11 Septembre 2001. Les ingénieurs ne délivrent des entretiens que rarement.

De quoi mettre en évidence tout l’incitativité du programme d’ELISA pour le gouvernement américain.

Coté français, il faudra atteindre 3 ans pour que la DGA émette un rapport d’éligibilité au financement étatique, là où la FAA a mis 2 heures.
De même pour Safran, en contact avec Jonathan, qui propose en 2015 un démonstrateur signalétique pour nacelle sur A380, digne descendant des prototypes ELISA volants depuis 2011.

Actuellement, ELISA est en cours d’homologation au centre de teste en vol à Atlantic city.

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